Comment cuire du fruit à pain ?
Le fruit à pain se consomme uniquement cuit et se prépare à la manière des pommes de terre au four, à la casserole, à la poêle, au barbecue, en friture ou en purée. Pour bénéficier de tous les atouts santé de ce fruit exotique, le mieux est de le cuire avec la peau. Mais dans ce cas, il est nécessaire de la piquer à l'aide d'une fourchette pour éviter que le fruit éclose à la cuisson. Les graines du fruit à pain, quant à elles, sont consommées grillées ou bouillies comme les châtaignes en Europe.
Comment bien choisir le fruit à pain ?
Un fruit de qualité a une couleur uniforme : il ne doit pas comporter de taches ni de morsure d’insecte. Par ailleurs, son pédoncule doit être bien vert.
Les variétés de fruits à pain
Il existe différentes variétés d'arbre à pain que l'on peut différencier par leur taille et la forme de leurs fruits. La période de récolte des fruits est aussi propre à chaque variété. Les Polynésiens identifient plus d'une cinquantaine de variétés différentes d'arbre à pain. Aux Antilles, on distingue deux types de variétés principales :
- Artocarpus altitis var. non seminifera (Duss) Fournet 2002 : c'est une variété dont les fleurs femelles, donnent un faux-fruit qui ne contient pas de graines et dont les fleurs mâles sont disposées en épis denses et charnus. Le fruit à pain est consommé comme légume et l'épi mâle en confit ou confiture.
- Artocarpus altitis var. seminifera (Duss) Fournet 2002, aussi appelé "châtaignier-pays" : c'est la variété fertile dont le pseudo-fruit contient de nombreuses grosses graines comestibles, les châtaignes-pays ou chatenn qui ont un goût de noix.
Les formes à graines prédominent en Mélanésie (Nouvelle-Guinée, Salomon et Vanuatu), alors que les formes sans graines prédominent en Polynésie.
Comment cuisiner le fruit à pain ?

accorder son amuse bouche et son cocktail
Aujourd’hui, le grand chouchou de l’accord met-boisson est l’accord met-cocktail. Pourquoi le cocktail constitue le choix gagnant d’un accord met-boisson ? Comme l’explique, le barman Thomas Girard, « le cocktail, contrairement au vin, œuvre d’un vigneron, permet d’inventer une boisson sur mesure pour une spécialité ». Le cocktail permet donc d’offrir une boisson unique adaptée à la nourriture qui accompagnera sa dégustation. La boisson est donc préparée en fonction du plat, elle n’est plus seulement choisie à l’instar du vin.De plus, le cocktail peut être à la fois proposé avec alcool ou sans alcool, habituellement nommé le mocktail. Enfin, il s’accommode de toutes les formes de restauration, il peut être servi aussi bien avec du sucré, du salé et être présenté tant à côté d’un met étoilé que d’une planche afterwork en terrasse. En effet, comme le souligne Mickaël Guidot, auteur de l’ouvrage, “les cocktails c’est par sorcier”, le cocktail « demande plus de préparation que d’ouvrir une bouteille de vin, mais on agrandit le spectre aromatique : On peut passer de l’amer au floral, du salé au sucré ou encore ajouter des notes fumées ».
les mocktails ou cocktails sans alcool
réaliser un cocktail....
le fruit à pain
la légine
«Chilean seabass» aux Etats-Unis, «Mero» au Japon, «Bacalao de profundidad» au Chili, «Merluza negra» en Argentine… des appellations multiples mais une seule constante : le goût !Un goût subtil et raffiné, exalté par une chair généreuse et fondante.
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